Grèves, divorce, baisse de la popularité, pouvoir d'achat : le début de la fin !

L'Etat de grâce n'aura duré que 5 mois, Sarkozy commence à s'enfoncer dans l'abîme. Rançon de sa politique, de son hyperactivisme et de sa gouvernance-campagne, le rejet de Sarkozy commence déjà à s'installer.

N'en déplaise aux intellectuels, aux opposants pur jus, aux antilibéraux et "autres soixante-huitards" -comme dirai Sarko- , aux militants contre les expulsions chantantes un vieux refrain  pétainiste et autres biens-pensants; ce n'est pas contre sa politique conservatriste, ,populiste, extrémiste et atlantiste que le peuple s'insurge, mais pour défendre et sauver son argent. En effet seul leur argent, leur petite maison et leur petit emploi les interressent; les shows à la télévision, les mesures-poudre-aux-yeux ne servent à augmenter la popularité que quand ils ont leur bien entier ! Première erreur, et de poids celle-là, de Sarkozy puisqu'il n'a compris qu'à moitié son électorat de base ! Sa politique de cadeaux et visites purement symboliques n'a fonctionné que quand les gens avaient de leur argent. Ayant fait comme politique un mélange de conservatrisme, de populisme et de libéralisme (il ne faut jamais mélanger ou faire à moitié une politique libéral); il ruine les français et commence à couler sous le flot des protestations.

Qui aurait dit un jour que le conservatrisme d'une population pouvait sauver un pays ?